Le marché

Charlie

-Je peux vous aider si vous voulez.

Camille

- Pas...Pas besoin, je pou...Pourrais trouver la personne que je...Je cherche après.

Je souris.

Charlie

Je lui souris

-Si vous le dites...

Je le regarda

-Sans vouloir être indiscrète, qui cherchez-vous donc ?

Camille

Je la regarda

- Robespierre.

Charlie

Je souris

-Je l'ai croisé tout à l'heure... Il m'a acheté deux de mes dessins, il est parti après avoir dit que son devoir de député l'appelait.

Charlie

-D'accord.

Je lui souris

Camille

- Allons-y.

Je me retourna et commença à aller vers l'imprimerie.

Charlie

Je le suivis

/ Pour Olympe

Olympe:

J'arrivai sans probleme; le marché etait calme, personne n'avait l'air de s'etre rendu compte que j'etais une noble. Je me mis donc a regarder toutes les echoppes d'un oeil critique.

Voleur (personnage de passage dans l'histoire)

J'étais assis dans un coin, à regarder les passants. J'étais convaincu que l'un d'eux était bourré aux as, restait à savoir lequel.

Olympe:

Je continuai d'explorer le marché, soudain j'aperçus un homme, voleur sans aucun doute. Je ressera donc l'emprise sur mon sac, sachant qu'il contenait une somme assez concecante

Lazare

J'arrivais et me dirigea par instinct vers le marché. Les échoppes se vidaient peu à peu, d'autres l'étaient déjà. Je remarqua une échoppe entièrement vide, sans habitat derrière. (L'échoppe de Charlie, sans qu'il ne le sache) Ces paysans sont prêts à tout pour se faire un minimum d'argent maintenant...

Voleur

Je vis une noble. À son air, elle m'avait vu aussi. Je la vis resserrer son sac contre elle. Pas de doute, c'était elle qui promenait le jackpot ! Les échoppes vides se multipliaient et ils ne devaient plus y avoir grand-monde par ici. Parfait pour passer à l'action ! J'attendis qu'elle marcha un peu pour lui prendre son sac plus facilement.

Olympe

Je continuai d'avancer, je le vis me suive et pressa le pas sans pour autant avoir un air suspect.

Voleur

Je passa d'échoppes en échoppes en étant le plus discret possible. Bientôt, je me retrouverais face à ces échoppes, et je pourrais m'acheter tout ce que je voudrais !

Lazare

Le soleil se couchait à l'horizon. Un cycle répété incessamment depuis la nuit des temps. Et pourtant, cela n'ennuyait personne. Sauf moi. Les bras croisés dans le dos, je regarda les échoppes se vider.

Olympe:
je continuai de marcher attivement

Lazare

En marchant, je vis Olympe au loin. La répugnante envie de la croiser n'était pas là, et j'hésitais à faire demi-tour. Mais ce n'aurait été digne. Je continua donc.

Voleur

C'était l'instant ! Je courra vers la noble en passant à côté d'elle et attrapa son sac à la volée. Je courra aussi vite que je pouvais et tirer sur son sac de toutes mes forces.

Olympe

on me saisit mon sac, avec ma force de jeune fille, je ne puis retenir le voleur bien longtemps et je tomba au sol avec la force du scelerat

Voleur

Victoire ! Elle avait lâché prise, et je pus partir à ma guise avec son sac. Je rêvais déjà des nombreuses choses qui allaient pouvoir m'aider à me sortir des beaux draps dans lesquels la monarchie m'avaient mis. Les pièces que contenaient le sac s'entrechoquèrent entres-elles alors que je partis.

Lazare

Face à moi, mademoiselle du Puget venait de tomber, et un jeune homme qui devait avoir la quinzaine courait vers moi...avec son sac.

Voleur

En courant, je vis une veste qui ne m'était pas inconnue. Une belle veste bleue, et son propriétaire connu pour être arrivé au pays durant ses jeunes années d'après les rumeurs. J'accélérais pour ne pas avoir affaire à lui et espérer passer à côté de lui sans qu'il ne m'arrête.

Lazare

Le voleur en question passa à côté de moi en accélérant. Espérait-il que je ne prenne pas son précieux gain ? Ce serait mal me connaître que penser que je ferais quelque chose pour cette jeune femme odieuse. Je la regarda.

Olympe

Je levai les yeux au ciel
-vous venez de voir partir en fumee 150 pieces d'or !

Lazare

-Cela m'est égal. Elles étaient sous votre responsabilité.

Je fronçais les sourcils.

-Et ce n'est pas en restant couchée que vous les récupérerez.

Je tourna les talons.

Olympe
Je soupirai, comment avais-je pu un jour aimer cet odieux personnages ? Je decida donc de me lever, assez peniblement car ma cheville avait du recevoir un mauvais coup, ma robe etait sale, je resta un moment silencieuse, aisse au bord de la fontaine

Lazare

J'entendis mademoiselle du Puget se relever. Je l'ignora et marcha sur quelques mètres pour retourner au palais.

Olympe:
Je restai seule un moment assise sur la fontaine, grand nombre de passants me devisageait sachant que je suis noble, mais qu'importe, je n'avais plus un sous sur moi alors ils ne pouvaient rien me faire ...

Lazare

Je n'attendis pas pour partir, en abandonnant mademoiselle du Puget là où elle était.

Olympe:

Lazare partit, pour cette raison, je decida de rester ou j'etais.

Olympe:

Les heures passèrent et je me dis qu'il aurait mieux fallut rentrer, alors, je retirai un peu de poussière qui était restée sur ma robe et partie jusqu'a Versailles.